Exposition de William Légaré : Les paysages glanés

Exposition

Exposition de William Légaré : Les paysages glanés

Publié le 11 novembre 2020

Lâchez la pédale d’accélérateur à proximité du Centre Alyne-Lebel et ouvrez une fenêtre sur une collection de lieux aux couleurs chatoyantes.

Jusqu’en décembre 2020, l’École d’art de l’Université Laval, en collaboration avec Manif d’art, présente l’exposition Les paysages glanés de William Légaré aux abords du boulevard Langelier dans des boites lumineuses.

Cette exposition présente le travail d’appropriation de lieux provenant de véhicules récréatifs. L’artiste s’est intéressé au visuel de ces véhicules alors qu’ils sillonnaient différents campings de la région de Québec. Son attention s’est posée sur ces représentations, parce qu’elles sont efficaces (dans leur conception) et étranges (une fois décontextualisées). Accompagnant généralement le logo de la compagnie, elles opèrent comme de véritables fantasmes d’aventures.

Ce finissant du baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’École d’art de l’Université Laval s’est vu remettre plusieurs prix lors de la soirée de remise des prix et bourses 2020 de l’École d’art de l’Université Laval dont le Prix Folie-Culture, Prix VU et le Prix Tomber dans l’œil qui soulignent la qualité de son travail remis à l’exposition des finissants.

Manif d’art et l’École d’art de l’Université Laval remercient chaleureusement le Centre artistique et culturel Alyne-LeBel pour son soutien dans la réalisation de cette exposition.

À propos de William Légaré

William Légaré a récemment complété un baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l’Université Laval. Ses œuvres ont été présentées en collectif à La Maison Jaune, à la Galerie des arts visuels ou encore à la Marina Saint-Roch à Québec. Le travail de William Légaré s’intéresse au territoire, aux rencontres et à la mémoire. De ses expéditions le pouce en l’air ou sous les traits d’un quéteux, il en rapporte des informations aux allures de photographies, d’archives, d’artéfacts ou encore d’anecdotes récoltées notamment au détour de rencontres préméditées ou spontanées au gré des opportunités. De ces rencontres émerge un rapport de confiance réciproque ainsi qu’un partage de connaissances sur plusieurs registres. Il en résulte un travail s’inspirant des codes du documentaire, tout en affirmant sa subjectivité. À la manière d’un journal de bord décousu par la mémoire, William Légaré a le désir de raconter des histoires sans pour autant tout révéler.

Manif d’art, en bref

Depuis ses débuts, Manif d’art développe des projets d’échanges et de coproduction qui encouragent la présence des artistes québécois sur la scène internationale et l’accueil d’artistes étrangers à Québec. Le mandat de Manif d’art est de promouvoir l’art de recherche et l’expérimentation en diffusant les travaux d’artistes s’inscrivant dans les grands courants québécois, canadiens et internationaux en arts visuels, notamment avec son évènement phare Manif d’art – La biennale de Québec.

Exposition
D’octobre à décembre 2020
Boulevard Langelier à proximité du Centre Alyne-Lebel

Photo : Les paysages glanés de William Légaré, 2020. Photo prise par Marion Gotti.

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11 novembre 2020

Manif d’art 10 – La biennale de Québec reportée à l'hiver 2022

MANIF D’ART se voit dans l’obligation de reporter la 10e édition de La biennale de Québec, réalisée en collaboration avec le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ), prévue initialement à l’hiver 2021.
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12 janvier 2021

Exposition Jeu de Jacynthe Carrier

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Manif d’art 10 – La biennale de Québec reportée à l'hiver 2022

Biennale de Québec

Manif d’art 10 – La biennale de Québec reportée à l'hiver 2022

Publié le 11 novembre 2020

MANIF D’ART se voit dans l’obligation de reporter la 10e édition de La biennale de Québec, réalisée en collaboration avec le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ), prévue initialement à l’hiver 2021.

Jusqu’en décembre 2020, l’École d’art de l’Université Laval, en collaboration avec Manif d’art, présente l’exposition Les paysages glanés de William Légaré aux abords du boulevard Langelier dans des boites lumineuses.

Cette exposition présente le travail d’appropriation de lieux provenant de véhicules récréatifs. L’artiste s’est intéressé au visuel de ces véhicules alors qu’ils sillonnaient différents campings de la région de Québec. Son attention s’est posée sur ces représentations, parce qu’elles sont efficaces (dans leur conception) et étranges (une fois décontextualisées). Accompagnant généralement le logo de la compagnie, elles opèrent comme de véritables fantasmes d’aventures.

Ce finissant du baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’École d’art de l’Université Laval s’est vu remettre plusieurs prix lors de la soirée de remise des prix et bourses 2020 de l’École d’art de l’Université Laval dont le Prix Folie-Culture, Prix VU et le Prix Tomber dans l’œil qui soulignent la qualité de son travail remis à l’exposition des finissants.

Manif d’art et l’École d’art de l’Université Laval remercient chaleureusement le Centre artistique et culturel Alyne-LeBel pour son soutien dans la réalisation de cette exposition.

À propos de William Légaré

William Légaré a récemment complété un baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l’Université Laval. Ses œuvres ont été présentées en collectif à La Maison Jaune, à la Galerie des arts visuels ou encore à la Marina Saint-Roch à Québec. Le travail de William Légaré s’intéresse au territoire, aux rencontres et à la mémoire. De ses expéditions le pouce en l’air ou sous les traits d’un quéteux, il en rapporte des informations aux allures de photographies, d’archives, d’artéfacts ou encore d’anecdotes récoltées notamment au détour de rencontres préméditées ou spontanées au gré des opportunités. De ces rencontres émerge un rapport de confiance réciproque ainsi qu’un partage de connaissances sur plusieurs registres. Il en résulte un travail s’inspirant des codes du documentaire, tout en affirmant sa subjectivité. À la manière d’un journal de bord décousu par la mémoire, William Légaré a le désir de raconter des histoires sans pour autant tout révéler.

Manif d’art, en bref

Depuis ses débuts, Manif d’art développe des projets d’échanges et de coproduction qui encouragent la présence des artistes québécois sur la scène internationale et l’accueil d’artistes étrangers à Québec. Le mandat de Manif d’art est de promouvoir l’art de recherche et l’expérimentation en diffusant les travaux d’artistes s’inscrivant dans les grands courants québécois, canadiens et internationaux en arts visuels, notamment avec son évènement phare Manif d’art – La biennale de Québec.

Exposition
D’octobre à décembre 2020
Boulevard Langelier à proximité du Centre Alyne-Lebel

Photo : Les paysages glanés de William Légaré, 2020. Photo prise par Marion Gotti.

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10 mars 2020

Steven Matijcio, commissaire de Manif d'art 10 - La biennale de Québec

Manif d’art est heureuse de dévoiler la thématique ainsi que le commissaire international invité pour la dixième édition de son événement phare: la biennale de Québec. Sous le thème Les illusions sont réelles, le commissaire invité Steven Matijcio, directeur du Blaffer Art Museum de Houston au Texas, questionnera la relation entre l’art et ses mirages.
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11 novembre 2020

Exposition de William Légaré : Les paysages glanés

Lâchez la pédale d’accélérateur à proximité du Centre Alyne-Lebel et ouvrez une fenêtre sur une collection de lieux aux couleurs chatoyantes.
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Steven Matijcio, commissaire de Manif d'art 10 - La biennale de Québec

Biennale de Québec

Steven Matijcio, commissaire de Manif d'art 10 - La biennale de Québec

Publié le 10 mars 2020

Manif d’art est heureuse de dévoiler la thématique ainsi que le commissaire international invité pour la dixième édition de son événement phare: la biennale de Québec. Sous le thème Les illusions sont réelles, le commissaire invité Steven Matijcio, directeur du Blaffer Art Museum de Houston au Texas, questionnera la relation entre l’art et ses mirages.

Réalisée en collaboration avec le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ), Manif d’art 10 s’infiltrera à nouveau dans le circuit culturel de la ville de Québec. Pour l’occasion, Steven Matijcio rassemblera des artistes de partout dans le monde afin de réfléchir conjointement sur les pratiques artistiques qui emploient des dispositifs illusoires, en complicité avec Claude Bélanger, directeur général et artistique de Manif d’art, Bernard Lamarche, conservateur de l’art actuel au MNBAQ et Michelle Drapeau, commissaire adjointe de la biennale pour la seconde édition.

« Pour cette édition anniversaire, Manif d’art vous promet une biennale qui sera là où vous ne l’attendiez pas. Tout ce que je peux dire pour le moment, c’est que Manif d’art est toujours plus présente dans la ville de Québec, mettant ainsi notre belle capitale sur la carte des villes qui comptent en art contemporain. » de déclarer Claude Bélanger, directeur général et artistique de Manif d’art. « Le public sera certainement conquis par les diverses propositions des artistes sélectionnés autour de cette thématique qui mêle illusion et réalité. » de conclure M. Bélanger.

Au cœur de la thématique : le réalisme magique

La thématique de Manif d’art 10 s’inspire du réalisme magique, courant artistique favorisant la manifestation spontanée d’éléments qui semblent magiques, surnaturels et irrationnels, qui surgissent dans le réel. La biennale sera l’occasion d’explorer des pratiques artistiques qui emploient des trompe-l’œil, des stratégies de détournement et des tours de passe-passe. Cette réflexion sur l’illusoire sera également l’occasion de remettre en question plusieurs enjeux sociopolitiques de notre réalité. En défamiliarisant le réel, les œuvres présentées souligneront et révèleront les mécanismes inhérents aux illusions qui inondent aujourd’hui notre quotidien, des saveurs artificielles aux campagnes de désinformation.
« Nous avons toujours pensé que la réalité était supérieure à l’illusion. La distinction n’est plus aussi claire aujourd’hui. Dans une société qui accueille désormais l’artifice à bras ouverts, qui cède à l’émerveillement et au plaisir dans le détournement trompeur de la réalité, quelles sont les ramifications sociopolitiques? La proposition commissariale est double : les œuvres de la biennale révéleront les coulisses de l’illusion dans une perspective critique, autant qu’elles se délecteront de la magie que cette même illusion peut insuffler dans le quotidien. » de préciser Steven Matijcio, commissaire de Manif d’art 10.

Notes biographiques sur Steven Matijcio

Steven Matijcio est le directeur et conservateur en chef du Blaffer Art Museum de l’Université de Houston depuis 2019. Steven Matijcio a été chef du département de conservation au Contemporary Arts Center (CAC) de Cincinnati, où il a été conservateur de 2013 à 2019. Au cours de son mandat, il a été commissaire d’expositions personnelles de Firelei Báez (en 2018), Kahlil Joseph (2018), Glenn Kaino (2017), Andrea Bowers (2017), Do Ho Suh (2016), et Titus Kaphar (2015), entre autres. Il a également fait partie de l’équipe de conservation de l’exposition After the Moment : Réflexions sur Robert Mapplethorpe, qui a ouvert ses portes en novembre 2015 pour marquer le 25e anniversaire d’une rétrospective du CAC Mapplethorpe.

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11 novembre 2020

Manif d’art 10 – La biennale de Québec reportée à l'hiver 2022

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