Intervention photographique sur deux abribus du réseau RTC
Arrêt 1263
Dorchester/De Sainte-Hélène (Édifice de la Fabrique/École des Arts Visuels)
Québec, Québec
Canada
418-524-1917
Arrêt 1583
René-Lévesque Est/de Claire-Fontaine (en face du Grand Théatre)
Québec, Québec
Canada
418-524-1917
Ron Benner (London, Canada)
L’artiste sera présent à l’arrêt 1263 le 4 mai entre 15 h et 16 h
Why is the Tomato to Blame? (2014)
Photographies numériques
Dans le cadre de Manif d’art 7, Benner présente un diptyque photographique sur deux abribus distincts. Pour l’œuvre Why is the Tomato to Blame?, il juxtapose l’image d’une femme indienne à celle d’une femme se trouvant dans un supermarché de Weston, en Ontario. Photographiée par Bill Madison, cette dernière a été tuée en 1961 par l’effondrement d’une pyramide de boîtes de conserve de tomates.
Carré Lépine
Rue du Pont, entre les rues Fleurie et Saint-Vallier Est
Québec, Québec
Canada
418-524-1917
Abbas Akhavan (Toronto, Canada)
Untitled Garden (2014)
Intervention in situ
Profondément liée à la notion de temps, l’œuvre Untitled Garden est un jardin animé situé sur le terrain à proximité de la Coopérative Méduse. Des cèdres sont d’abord disposés aléatoirement autour d’une ligne de gazon dégarnie, qui s’est formée en raison du passage fréquent des piétons. À la manière d’un jeu d’échecs, les arbres sont ensuite déplacés afin de créer un alignement parfaitement droit et perpendiculaire au sentier, détournant ainsi la circulation piétonnière.
Remerciements
Delfina Foundation
Bibliothèque Gabrielle-Roy
(Mur donnant sur la rue de la Couronne), 350, rue St-Joseph Est, Québec, Québec Canada
418-641-6789
bibliothequedequebec.qc.ca
Giorgia Volpe (Québec, Canada)
Résilience (2014)
Intervention in situ
Le projet Résilience démontre l’intérêt de Giorgia Volpe pour la frontière qui existe entre nos actions et la réelle transformation de l’espace public. Inscrite dans une approche contextuelle et interventionniste, l’œuvre crée un jeu situationniste aux multiples significations, alors que l’artiste superpose le mot « Résilience » à un mur de la Bibliothèque Gabrielle-Roy. Créées in situ, les lettres géantes matérialisent les multiples dimensions du sens de ce mot. Le concept de résilience englobe des notions physiques et psychiques, mais aussi écologiques, par l’adaptation à l’environnement en transformation.
Le Grand Théatre de Québec
269, boulevard René-Lévesque Est
Québec, Québec
Canada
418-643-8111
grandtheatre.qc.ca
Thomas Kneubühler (Montréal, Suisse)
Access Denied (2007)
Impressions à jet d’encre sur bannières
Private Property (2006)
Épreuves couleur
Pour l’installation extérieure intitulée Access Denied, l’artiste présente des portraits géants de gardiens de sécurité qui s’imposent aux passants déambulant près du Grand Théâtre de Québec. Le désir de l’artiste d’explorer des territoires inconnus ou oubliés l’a porté à s’intéresser aux thèmes de l’effraction et de la surveillance, de même qu’aux limites entre les espaces public et privé. La série Private Property, présentée à l’intérieur du bâtiment, porte quant à elle son attention sur des endroits déserts, généralement interdits au public. L’artiste travaille de nuit, alors qu’il ne semble rester que le personnel de sécurité sur les lieux. Ensemble, ces deux séries reflètent l’intérêt que porte Kneubühler pour la préoccupation nord-américaine envers la sécurité et la propriété privée.
Ascenseur du Faubourg
417, rue Saint-Vallier Est
Québec
(418) 704-6624
3 mai au 1er juin 2014
Lundi au mercredi de 7 h à 19 h
Jeudi et vendredi de 7 h à 22 h
Samedi de 10 h à 22 h
Dimanche de 10 h à 19
Gratuit
Michael McCormack (Halifax, Canada)
STATION (2014)
Installation sonore
Présentée à l’intérieur de l’ascenseur du Faubourg, l’œuvre STATION se concentre spécifiquement sur les émissions à ondes courtes qui ont été transmises entre Madrid et le Canada pendant la guerre civile espagnole, de 1936 à 1939. L’ascenseur du Faubourg parcourt approximativement la même distance qu’une seule longueur d’onde de la fréquence utilisée par les volontaires canadiens pour transmettre des signaux entre ces deux pays (31,65 mégacycles ou 9,4786 mètres). Cette mesure correspondant à un étage de l’édifice, la distance parcourue offre la possibilité d’une rencontre avec la nature temporelle des documents d’archives, et ce, dans le cadre intime de l’ambiance sonore d’un ascenseur.
L’artiste présente également des installations sonores dans l’ascenseur de la coopérative Méduse et dans l’ascenseur de l’Espace 400e Bell.